SUGAR DADDY OU PAPA-CARAMÉLISME – 3EME ET DERNIÈRE PARTIE : DÉRIVES ET QUESTIONS PHILOSOPHIQUES

Par Kader S. « On dit que l’argent Ne fait pas le bonheur. Peut-être… Mais en tout cas, il vous permet De choisir le genre de misère Que vous préférez ». -- Pierre-Jean VAILLARD Temps de lecture - 6 à 7 minutes. Dans le deuxième de cette série de trois articles consacrés au « Papa-Caramélisme » nous avons abordé … Lire la suite SUGAR DADDY OU PAPA-CARAMÉLISME – 3EME ET DERNIÈRE PARTIE : DÉRIVES ET QUESTIONS PHILOSOPHIQUES

SUGAR DADDY OU PAPA-CARAMELISME – 2EME PARTIE: QUELLE PLACE DANS LES MŒURS ?

Par Kader. S. « Le talent de prêcher la morale aux autres Est une chose que tout le monde Peut aisément acquérir. Mais pratiquer soi-même la vertu, Voilà ce que peut seule une âme d'élite ». -- HITOPADESA Proverbe sanskrit - IXème siècle. Temps de lecture - 3 à 4 minutes Dans le précédent article de cette … Lire la suite SUGAR DADDY OU PAPA-CARAMELISME – 2EME PARTIE: QUELLE PLACE DANS LES MŒURS ?

PETITS PROPOS SUR LE VIOL (2ème Partie): UNE APPROCHE « SOCIOLOGIQUE » DE LA DÉNONCIATION ET DE LA QUÊTE DE JUSTICE.

Par Kader S. Nous l'avons dit dans la première partie: le viol est plus qu'une simple affaire de consentement. Il est normal que dans l'entendement populaire l'on ne s'attache qu'à ce seul critère puisque le viol est (entre autres traumatismes) une violation de la volonté de l'esprit et du corps d'autrui. Le consentement représente donc … Lire la suite PETITS PROPOS SUR LE VIOL (2ème Partie): UNE APPROCHE « SOCIOLOGIQUE » DE LA DÉNONCIATION ET DE LA QUÊTE DE JUSTICE.

PETITS PROPOS SUR LE VIOL (1ère Partie): DISPARITES DEFINITIONNELLES, CONSENTEMENT ET PRESOMPTION D’INNOCENCE

Par Kader S. [Corrections - 13/05/2020]13/05/2020 - Sur la place du viol dans le code pénal ivoirien à la suite d'une question - remarque d'une lectrice. Le viol est bel et bien défini dans le Code Pénal ivoirien à l'article 403 depuis la loi n°2019-574 du 26 Juin 2019. La correction a été intégrée à … Lire la suite PETITS PROPOS SUR LE VIOL (1ère Partie): DISPARITES DEFINITIONNELLES, CONSENTEMENT ET PRESOMPTION D’INNOCENCE